Ce gazon où s’est posée une corneille, je le peindrai d’un coup de vert directement du tube, avec une tâche noire. Le gazon en tube, c’est beau, sans plus. Sans excitation. Alors je peindrai plutôt le vert qui lui sort du bec. Me voilà surréaliste? Alors je peindrai le gazon directement du tube de noir, qui a avalé la corneille. Un monochrome? Je n’y trouve pas mon compte. Pas plus que dans le gazon. Cela m’ennuie. Alors j’enverrai la corneille twitter. Et demander à la volée numérique: Qu’est-ce que c’est que ça:
Ça ne m’excite pas davantage. Je ne peux peindre qu’une intense excitation. Pour en jouir et la transmettre. Pour qu’elle demeure. Et qu’elle puisse m’exciter encore, me provoquer encore, de toute son énergie créatrice.