Wall Street est réputé faire la pluie et le beau temps quotidiennement sur notre planète financière. Wall Street souffle le chaud et le froid sur nos malheureux spéculateurs ballottés dans des cumulus nimbus imaginaires auxquels ils donnent par leur jeu obsessionnel force de réalité pour la vrai monde, celui des travailleurs et des retraités piégés dans ces convexions d’air brutales et souvent totalement imprévisibles.
Ainsi, c’est dans les pays les plus riches que surgissent le plus souvent les grands génies de l’art – ceux qui deviennent célèbres. Étrange enchaînement, une méchante fusion de l’art et de l’économie, de la culture et de l’argent, du commerce et de la création.
En cours de réalisation, octobre 2009.
En vente exclusive dans les boutiques de luxe. Extra fort.
L’alchimie entre capitalisme et art est circulaire (réciproque), mais il faut distinguer entre plusieurs niveaux: l’élitiste, qui fonctionne très bien, et le populaire, qui est le plus souvent un fiasco total. Toute alchimie demande une initiation, une connaissance des codes, l’appartenance à une communauté de recherche et d’échanges.
Pour le troisième âge. Ne pas prescrire aux nouvelles générations.